En décembre 2013, je me lance dans un projet qui me tient hacker 😉 Découvrir le monde des cartes Arduino pour fabriquer des petits systèmes électroniques programmables.
Ce concept de « système interfaçable programmable » n’est pas nouveau, puisqu’il existait déjà avec l’Instructor 50 dès 1975 (mon année de naissance !), qui fut l’une des premières interfaces informatiques pédagogiques.
Ce qui est nouveau, c’est que ces cartes Arduino sont financièrement très accessibles (moins de 20 €), et que le langage informatique permettant de les programmer est assez intuitif, si l’on possède déjà quelques bases de programmation par ailleurs. De nombreuses librairies prêtes à l’emploi et exemples sont disponibles grâce une communauté grandissante sur Internet. De nombreux modules compatibles (« shields ») peuvent être connectés à la carte Arduino de base, pour en augmenter les fonctions : capteurs en tout genre, moteurs pas-à-pas, électrovannes, réseau éthernet, Wifi, entrée-sortie sur carte SD, émission-réception radiofréquence, etc. Ceci fait que ces cartes connaissent un grand succès chez les amateurs de domotique, de robotique, de mécatronique (synergie de mécanique, informatique et électronique) ou de faites-le-vous-même (« Do It Yourself« ). On peut notamment fabriquer des systèmes permettant d’exploiter des objets électroniques déjà existants, en utilisant un peu de rétro-ingénierie, pour les détourner de leur usage, ou en augmenter les capacités : ce que l’on peut appeler aussi hacking (au sens noble du terme, pas au sens de pirater l’ordinateur de son voisin !).
Sur ce blog, quelques articles concernant l’Arduino verront sûrement le jour, au fur et à mesure de mon apprentissage…
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